Quelques complications après une chirurgie orthognatique

écartement entre eux et l’alignement que l’orthodontie n’a pas pu satisfaire. Cet écartement peut être présent dès la naissance ou suite à un accident qui a touché la face. Elle va de paire avec la chirurgie maxillofaciale car une intervention au niveau des dents.

La complication post opératoire

Chaque intervention a ses propres suites et complications. Celles-ci dépendent de nombreux facteurs sur la personne (biologie, psychologie) que même les pratiques ne consentent de prévenir ou d’échapper. On appelle complication post opératoire, les évènements qui se présentent à court ou moyen terme de l’acte chirurgicale que ce soit ordinaires ou non. Si le patient ne présente pas de pathologies particulières et suit à la lettre les conseils post opératoires, il ne devrait pas y avoir de complication, mais on dit que l’exception confirme la règle.

Les suites post opératoires après une chirurgie orthognatique

Pour la chirurgie orthognatique, une bonne hygiène suffira pour éviter les inattendues. Mais il y a quelques  suites qui varieront et seront limitées par la prise de quelques cachées :

  • Les douleurs ;
  • Les saignements moins importants qui durent quelques jours ;
  • L’œdème du visage qui se remet après 5 à 10 jours ;
  • Les bleus disparaissent plusieurs jours après l’intervention ;
  • Les nausées et vomissements dues aux prises de médicaments;
  • L’inconfort et l’anxiété du au stress suivant l’acte ;
  • L’insensibilité passagère de l’odorat et des tissus facials ;
  • L’incapacité d’ouvrir la bouche qui se soigne par des séances de kinésithérapie

Les complications après une chirurgie orthognatique

On ne peut pas exclure intégralement les complications post chirurgicales de la chirurgie orthognatique, car chaque intervention possède des risques comme :

  • Les infections dégageant des microbes buccales, s’atténuent par la prise d’antibiotique ou inhabituellement l’entrée en bloc opératoire ;
  • Les hémorragies qui doivent être soigné à la clinique ;
  • La mobilité des places des maxillaires nouvellement positionnées qui requiert la reprise de l’acte chirurgicale.
  • La pseudarthrose où l’os ne se consolide pas, une ré-intervention s’impose ;
  • Les lésions des dents qui sont exposée à la chirurgie ;
  • La rechute d’une nouvelle pathologie imprévisible après un certain temps.

Il faut alors bien se préparer physiquement et mentalement à l’avance pour pouvoir surmonter les risques éventuels. Ne pas hésiter à en parler avec le chirurgien si jamais une question nous vienne à l’esprit.

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